Silver Spring, Maryland, États-Unis …. [Personnel ANN]

L’Inde est un pays qui se montre ouvert au message de l’Évangile ainsi qu’aux pasteurs adventistes, aux travailleurs bibliques et aux membres laïcs qui annoncent le message. Chaque année, l’Église accueille des dizaines de milliers de nouveaux croyants venant de toutes parts de cet immense pays, dont la dense population de un milliard d’habitants représente environ un sixième de la population mondiale.

Afin de comprendre le succès que connait le message adventiste et d’en examiner quelques raisons, Ray Dabrowski, directeur des communications de l’Église mondiale, a rencontré D.Ronald Watts, prédident de la Division d’Asie du Sud ; Michael L. Ryan, vice-président de la Conférence Générale et directeur de Mission Globale ; et Don Noble, président de Maranatha Volunteers International, un organisme laïc qui a soutenu la construction d’église dans les pays du monde entier, dont l’Inde, où les bénévoles ont bâti des églises et des écoles.

Ils se sont récemment réunis pour examiner les différentes facettes que revêtent le témoignage et la croissance de l’Église en Inde, ainsi que l’ambition programme visant à procurer des lieux de culte aux assemblées grandissantes en Asie du Sud. Ce qui suit est un extrait de leur entretien.

Ray Dabrowski : L’Église grandit considérablement en Asie du Sud. Pouvez-vous nous donner quelques facteurs de ce développement très impressionnant ?

D. Ronald Watts : L’un des développements majeurs de ces dernières années a été le travail d’équipes d’évangélisation qui venaient d’Églises locales de différents États d’Amérique du Nord. Ils tenaient des campagnes d’évangélisation. Plusieurs d’entre elles tenaient des programmes touchant 10 villages, d’autres 50, où ils finissaient par établir simultannément 10 ou 50 églises, puis entreprenaient la construction d’autres bâtiments liés aux églises et établissaient des volontaires pour diriger les gens.

Dabrowski : cela vient de l’extérieur, mais que se passe-t-il au sein même de l’Église en Inde ?

Watts : à l’intérieur, bien sûr, l’un des facteur déterminants est l’évolution dans l’attitude des habitants par rapport aux chrétiens, aux Adventistes. les gens commencent à s’apercevoir que les valeurs promues par les Adventistes sont des valeurs qu’eux mêmes considèrent très importantes dans leur vie depuis des générations. Ils constatent que ce qu’on leur enseigne correspond à ce qu’ils croient. Voyez-vous, la notion de non-violence nous importe beaucoup. nous ne faisons pas la guerre, nous ne tuons pas les gens, et dans leur société, la notion de non-violence est un élément fondamental depuis 500 av. J.-C. et depuis le temps de Gautama Buddha ; nous mettons l’accent sur la famille et sur la dévotion. Vous savez, il y a un élément très important dans la religion de l’Inde, qu’ils appellent « bhakti ». c’est une forme de dévouement exceptionnel —  issue non de la théologie ou de la philosophie, mais de l’adoration de Dieu — qui est très important pour eux.

Dabrowski : Aujourd’hui, l’Inde connait des changements politiques, sociaux et économiques. Cela affete-t-il aussi la façon dont s’oriente l’organisation de l’Église ?

Watts : L’atmosphère est différente en Inde aujourd’hui, après les dernières élections. Le Premier ministre vient d’une communauté minoritaire, pour la plus grande joie de toutes les minorités en Inde. L’une des premières déclarations qu’il a faite après son élection était de voir à ce que les violences qui ont tuées des membres de minorités religieuses ne se reproduise plus jamais. À Andhra Pradesh, où nous avons un travail énorme, le nouveau ministre en chef est un chrétien, un médecin chrétien. C’est un homme fervent qui se dévoue pour les gens, et on apprécie son travail dans bon nombre d’hôpitaux où il a la réputation d’aimer les pauvres. Il est arrivé au pouvoir avec une immense majorité.

Dabrowski : Donc vous pouvez déjà ressentir les effets de ces changements récents.

Watts : Nous ressentons qu’il y a de la joie dans l’air. Ce ministre en chef a 350 Adventistes qui travaillent pour lui dans son district. En fait, le groupe Maranatha est en train de construire une nouvelle église adventiste dans son  district, et elle devrait être inaugurée à Noël.

Dabrowski : Quand on regarde les statistiques de l’Église, on s’aperçoit que la Division de l’Asie du Sud, en termes de baptêmes et de profession de foi, détient le pourcentage de croissance le plus élevé de toutes les Divisions du monde. Comment arrivez-vous à gérer l’affluence d’un si grand nombre de personnes ?

Watts : Je crois que nous y arrivons bien parce que nous avons fait deux choses importantes. Nous avons établi de nouvelles missions et de nouvelles structures là-bas, qui accueilleront ces personnes. Aussi, nous avons construit des églises avec l’aide du groupe Maranatha notamment — Maranatha a construit 850 églises en six ans dans notre région, et prévoit d’arriver à 1000 église avant mars 2005 — et nous avons bâti d’autres églises ensemble. Lié à ceci est le fait qu’à travers Mission Globale, une initiative de l’Église pour implanter des églises dans de nouvelles régions, et d’autres organisations missionnaires, nous avons des bénévoles qui travaillent dans tous les villages ; ces bénévoles chrétiens assurent le culte quotidien et des cours d’alphabétisation pour adultes, des cours sur la santé et le programme du sabbat. C’est très important de travailler d’une manière constante.

Dabrowski : Considérant le rôle que joue Mission Globale dans ce déploiement phénoménal, qu’est-ce qui est fait concrêtement ?

Michael L. Ryan : On a confié à Mission Globale la tâche spécifique de maintenir devant les yeux de l’Église le besoin de placer ces congrégations dans les zones non pénétrées. Bien sûr, nous sommes très attentifs au fait de faire une bonne analyse du terrain, de trouver les zones, très nombreuses en Inde, où l’évangile n’est pas encore entré, puis les détails sont considérés pour savoir si on peut implanter une nouvelle église là. … ça dépend aussi de ce qu’on entend par Mission Globale. Si on se réfère au niveau local, alors bien sûr ils recrutent des pionniers, ils les entraînent, les envoient, les équippent, les aident à lancer leur affaire. Et autant que nous le sachions, tout ce qui peut être fait pour stabiliser le nouveau petit groupe, ça fait partie du plan. Et alors, bien sûr, l’organisation au niveau de la région détient véritablement le programme Mission Globale — ils font le recrutement, l’entraînement, ils les envoient et leur procurent les fonds nécessaires.

Dabrowski : Construire des églises dans ces régions est un impératif pour maintenir la croissance, et c’est là que Maranatha est impliqué …

Ryan : auparavant, nous avons financé certains projets et on s’est rendu sur place, vous ne voyiez toujours pas de congrégation un an après, ou, dans d’autres endroits, c’était triste de découvrir ce qu’ils appellaient une église qu’ils venaient de construire et ils vous emmène la voir : la nouvelle église fait à peine la moitié de votre bureau et elle est construire en terre. Et ils disent : « C’est tout ce qu’on a pu se permettre ». Alors j’ai su que quelque chose devait changer parce que, qu’est-ce que vous pouvez espérer comme croissance si vous n’arriver qu’à entasser 15 personnes debout dans la salle ?

Dabrowski : cette croissance de l’église se produit grâce à l’intention avec laquelle les église ont été implantées dans cette région. Quand on considère l’Inde, on peut témoigner du succès du travail de Mission Globale. Toutefois il y a un milliard d’ahbitants là, et on ne touche que la surface, non ?

Ryan : Ma vision du succès, bien sûr, c’est ce qui relève véritablement du miracle, un miracle du Saint-Esprit, parce que nous ne sommes pas aussi mâlins et aussi bien organisés que cela, et [atteindre] l’Hindus n’est pas si facile, malgré ce que certains pourraient prétendre. En termes de succès, c’est clairement grâce au Seigneur, mais je suis d’accord avec Ron. Je pense qu’il y a non seulement un nouvel état d’esprit en Inde, parmi la population, mais aussi un nouvel esprit parmi les membres d’église.

Je vois deux choses qui font que l’inde demeure un gros défi. L’une c’est qu’il y a encore des milliers de villages où on a à peine entendu parler de Jésus, si ce n’est pas du tout. Et il y a certaines régions prioritaires par rapport à d’autres. Nous n’avons tout simplement pas la clé pour ouvrir la porte. Je pense notamment au Kashmir, et à d’autres régions où vivent plusieurs millions des gens. Notre message n’a toujours pas pénétré ces régions-là. Un problème grandissant va être de prêcher dans les villes en Inde. C’était un pays où la population était majoritairement rurale, mais maintenant que l’inde exerce son propore poids technologique au niveau mondial, on voit que les villes se développent.

Le deuxième facteur, c’est qu’avec une croissance tellement rapide et soutenue, nous rencontrons le défi de faire conprendre à l’Église mondiale qu’il faut obligatoirement  rendre les nouveaux convertis forts en Christ. Ils viennent, ils sont tout excités, ils aiment le Seigneur, mais il y a beaucoup de choses qu’on pourrait fournir en tant qu’église pour leur croissance spirituelle, notamment quand il s’agit de devenir disciple.

Dabrowski : Le rôle du bâtiment en lui même, est-ce qu’il y a un certain rapport à ce facteur en Inde ?

Watts : Le rôle du bâtiment dans la croissance de l’Église est incommensurable, mais vous devez comprendre que 85 pour cent de la population en Inde n’avait pas le droit de se réunir dans les temples Hindous durant les deux derniers millénaires. Pour eux, avoir un temple où se réunir est si important, ils n’imaginent et ne demandent rien de plus beau. Cela leur procure un sentiment d’équilibre dans leurs vies, un sentiment de joie, cela apporte de l’ordre dans leurs vies, et dans ces villages où ont été construites les églises, elles sont devenues le centre du village et il fait bon s’y rendre. l’Église est au centre de leur vie et de leur famille.

Dabrowski : Est-ce que le style du bâtiment est important?

Watts : Je n’ai jamais entendu quiconque se plaindre du style du bâtiment – du moment que c’est suffisamment vaste pour accueillir leurs familles, et bien sûr pour les mariages, – bien des événements importants de la vie des gens  gravitent autour du lieu de culte – les funérailles, les baptêmes et les présentations d’enfants etc. Une église … nous qui vivons notre culte dans un bâtiment construit par d’autres nous prenons cela pour acquis (et), nous n’avons pas la moindre idée de ce à quoi cela ressemble que de vivre quelque part et de ne pas avoir un lieu de culte.

Ryan : Il y a un autre défi outre celui de fournir un lieu de culte décent et de faire que les  membres se sentent bien et demeurent fidèles à l’église. Ce qui se passe actuellement va bien au delà de cela. Un des problèmes auxquels nous sommes confrontés à Mission Globale c’est de n’avoir aucun fond pour construire un quelconque bâtiment. … Le miracle de la construction d’églises c’est que nous ayons pu en effet répondre à ce besoin culturel, mais aussi le fait que quelqu’un (Maranatha) s’est impliqué. Nous avons ouvert une vanne pour ceux qui non seulement ont l’expertise de la chose, mais qui ont également accès à des ressources financières qui ont permis de réaliser un véritable miracle pour plusieurs de ces congrégations et le financement de tels projets n’est pas chose facile à réaliser.

Watts : Autre chose qui caractérise cette association de Maranatha avec Mission Globale c’est qu’ils arrivent à travailler en équipe. Personne d’autre ne travaille aussi globalement. Il existe d’autres groupes chrétiens qui travaillent en Inde, j’ai lu des articles sur ce qu’ils font. Voici leur discours: ‘ne construisez pas d’églises lorsque vous arrivez dans un village – vous commencez avec une église de maison jusqu’à ce qu’ils aient fait leurs preuves’. Ils se réjouissent de ce qu’ils ont réussi dans le village de Bihar, à former une congrégation de 20 personnes. Mais quand [Maranatha et Mission Globale] travaillent ensemble nous mettons sur pieds des congrégations de 300, 400, 500, et 1,000 personnes. Et personne d’autre actuellement ne fait cela en Inde, aucune [autre] organisation chrétienne.

Dabrowski : Si je comprends bien, lorsque Maranatha et d’autres groupes vont aux Indes, ils bâtissent des églises avant de faire des campagnes d’évangélisation?

Watts : Avant qu’il n’y ait un seul membre dans le village, ils achètent un terrain et construisent une église. Ainsi lorsque les gens entendent le message de l’évangile ils se disent, « Nous avons un lieu de culte, allons-y. » C’est tellement plus facile pour les gens d’entrer dans ce processus. Et franchement, c’est en train de se répandre.

Ils sont là à adorer et des gens venant de villages distant de plus de 50 km viennent observer et disent, « Nous avons été chrétiens pendant plus de cent ans dans notre village, et nous n’avons jamais eu d’église, comment avez-vous fait? » Et ils veulent en savoir plus sur notre message et nous demandent de venir étudier la Bible avec eux et demandent à être baptisés car ils veulent aussi avoir une église. Cela aide vraiment les membres d’église de l’Inde dans leur action missionnaire auprès des villages qui les entourent lorsqu’ils ont un lieu de culte.

Ray : Don Noble, qu’est-ce qu’il faut pour bâtir une église, combien ça coûte de bâtir une église en Inde?

Don Noble : Tout dépend de la taille de l’église et du type d’église que l’on construit. … tout comme les maisons ne coûtent pas toutes le même prix, de même toutes les églises ne coûtent pas la même somme. La différence de prix va se faire sentir selon la taille, la qualité et l’emplacement. Ce que nous avons décidé de faire en accord avec la Division de l’Asie du Sud, c’est de fournir trois tailles différentes d’églises. Nous essayons de travailler de manière systématique, nous avons de petites, moyennes et grandes églises. Par exemple, si nous sommes dans le nord de l’Inde et que les gens nous amènent 75 ou 100 ou 125 personnes, nous bâtissons une petite église. Et selon nos tarifs actuels, avec un toit en dur, c’est $5,000 US, ce qui n’est pas excessif quand vous calculez le prix de revient par membre. Une église moyenne, d’une capacité de 250 personnes va coûter $7,500 US. Une église, pour plus de 400 membres est considérée comme une grande. Pour la première fois en 6 ans nous avons dû augmenter à $11,000 Us prix de telles constructions à cause de l’augmentation du prix de l’acier. J’ai le sentiment que ça va encore augmenter dans le futur, voilà pourquoi nous voulons construire le plus grand nombre d’églises possibles au prix actuel. Bien sûr, vous devez ajouter à cela, le prix du terrain, pratiquement gratuit dans certains lieux, $500 US dans certains états, dans l’état d’Uttar Pradesh ce sera plus élevé et dans les grandes villes bien sûr, c’est tout autre chose.

Watts : Cela dépend du nombre de membres comme l’a dit Don. Mais vous devez avoir un bâtiment avec un minimum d’espace et faire des plans pour la croissance future également, même si au départ il s’agit d’une petite congrégation. J’ai fait le calcul des registres de membres. Dans l’état du sud Andhra il y a 100,000 membres. Ils ont 500 églises. Comment arrive-t-on à gérer 500 communautés je me le demande. Mais ils vous diront qu’ils ne perdent pas leurs membres d’église.

Une partie du plan consiste à partir d’un bâtiment d’église, que vous établissez en tant que centre de leur vie sociale… nous bâtissons le groupe sur le plan social d’abord. Nous ne détruisons pas la vie sociale du village. Les anciens du village entrent dans l’église et leur groupe d’influence suit. Ainsi lorsque vous vous adressez à une famille en Inde, ce qui peut représenter jusqu’à 300 personnes dans le village, et que vous réussissez à pénétrer cette famille, à entrer dans la structure sociale qui les empêchait auparavant de devenir chrétiens, maintenant que vous avez la structure sociale de votre côté pour les amener à entrer dans l’église. Ils vont s’intégrer et demeurer de fidèles membres.

Dabrowski : Nous ne parlons pas uniquement de la taille des bâtiments d’églises, et nous savons qu’un modèle unique ne pourrait répondre à tous les besoins, mais il s’agit également de la manière dont ces bâtiments sont construits…

Watts : Vous savez, on pourrait bâtir de petites huttes pour une centaine de dollars, mais au bout de six mois il n’en resterait plus rien. Il faut donc construire une structure raisonnable et comme l’a dit Don, il existe différentes tailles, selon l’importance de la congrégation. Maranatha construit avec du béton armé, et ils construisent des églises à l’épreuve des cyclones. Par exemple, sur la côte Est de l’Inde il y a des cyclones qui viennent du Golfe du Bengale et détruisent tout sur leur passage. Là vous devez construire du solide, mais cela demande des investissements et c’est ce que fait Maranatha. Bien sûr vous pouvez faire pour moins cher, mais vous n’en aurez que pour votre argent.

Dabrowski : En quoi l’expérience indienne a été pour Maranatha un enrichissement, ainsi que pour ses volontaires et ceux qui le soutiennent financièrement?

Noble : Pour moi l’Inde, avec une population qui représente un habitant de la planète sur six, dans un certain sens représente ce qui doit encore être fait avant que Jésus ne revienne. Et si Dieu peut ouvrir ce pays, il peut le faire pour n’importe quel pays de la planète.

Et si le message peut se propager rapidement dans ce pays, alors il peut se propager rapidement dans n’importe quel pays et Jésus peut revenir très rapidement. Aussi lorsque nous parlons de ce que je considère comme une croissance minime jusqu’à présent – il existe des possibilités de plus grande croissance – je suis emballé parce que je me dis que c’est un exemple de ce que Dieu désire voir se réaliser très bientôt.

Watts : Lorsque nous parlons de Maranatha et de leur projet de 1,000-villages qu’ils veulent pénétrer simultanément… Maranatha va construire 1,000 églises. Cela ne signifie pas qu’ils vont pouvoir réunir l’argent nécessaire pour  1,000 églises… Ils vont construire 1,000 églises avec l’argent qui leur sera fourni quel qu’en soit la provenance. Mais une chose est certaine:ils seront sur le terrain.

Noble : En entendant tout cela, je crois que le Seigneur va nous conduire en fonction de notre degré de foi. Si nous avons la certitude que Dieu va ouvrir l’Inde à l’Évangile, je suis persuadé qu’il va le réaliser. Si nous avons la foi de lancer un projet de 1,000-églises de village, Il va nous permettre de voir la réalisation de ce projet de 1,000 églises de village. Et lorsque nous aurons compris que nous pouvons compter sur lui, car nous devons apprendre cette leçon, Il nous permettra de réaliser des choses encore plus grandes.

Je crois que ce projet va tellement enthousiasmer les gens que cela va changer la vie même de ceux qui vont y participer. Il n’y a pas de pénurie d’argent, il y a seulement pénurie de foi, et de certitude que Dieu peut réaliser de grandes choses. Et le moment viendra où les gens diront: « regardez ce qui se passe en Inde. Dieu peut se servir de cette génération pour achever l’oeuvre. » Pas seulement un peu de croissance au rythme actuel, mais l’achèvement total de l’oeuvre d’évangélisation.

Copyright © 2004 par Adventist News Network.

Image by ANN. Volontariat Maranatha International
Image by ANN Volontariat Maranatha International

Top news

Le conseil d’administration de l’Université de Montemorelos réaffirme son engagement et planifie sa croissance future
L’Université de Montemorelos inaugure la première tranche du Centre d’Innovation et d’Apprentissage
Les dirigeants de la DIA célèbrent le « Recentrage sur la Mission » et renouvellent leur engagement envers l’évangélisation mondiale