Etats-Unis d'Amérique: Un représentant Adventiste pour la promotion de la liberté sur le lieu de travail par devant le Congrès

7 février 2008, Washington, D.C., Etats-Unis… Elizabeth Lechleitner/ANN

Un représentant de l'Eglise Adventiste du Septième jour pour les Affaires législatives, James D. Standish, Esq., se joindra à d'autres prestation pour témoigner par devant une audition du Congrès des Etats-Unis le 12 février, pour convier les législateurs à soutenir la Loi de la Liberté Religieuse sur le Lieu du Travail récemment réintroduite.

« Les Américains n'acceptent pas de sectarisme au sein de nos média, nos écoles, ni notre gouvernement, et certainement nous n'accepterons pas de sectarisme à l'endroit des gens excerçant une foi religieuse sur les lieux du travail, » a écrit Standish dans une lettre que les citoyens Américains concernés peuvent envoyer à leurs représentants du Congrès.

La Loi, présentée par devant le Congrès originellement il y a 10 ans, a pris une certaine proportion, un support bipartite dans les deux chambres du Congrès Américains, a dit Standish. Si elle est votée, elle protègera et étendra les droits qui ont été introduits 40 ans de cela quand le Congrès a eu à approuver la loi de la liberté sur le lieu du travail sous le manteau de la Loi des Droits Civils aux Etats-Unis.

D'après la Commission sur l'Egalité de l'Emploi aux U.S, les récriminations concernant la discrimination religieuse ont grimpé de 83 pour cent entre 1992 et 2006 alors que d'autres récriminations de discrimination — y compris celle de race, de sexe et d'âge — sont un peu stable ou ont diminué.

Standish et d'autres dirigeants religieux critiquent l'interprétation erronée q'une actuelle législation de la liberté sur le lieu de travail soit à la hausse. « Alors que le Congrès a travaillé en vue d'accorder des droits à beaucoup de groupes sur le lieu du travail, il a négligé les observateurs du Sabbat et d'autres croyants.

Les ouvriers, a ajouté Standish, ne devraient pas choisir entre l'accomplisement de leur travail et la pratique de leurs croyances religieuses respectives. « C'est une question de bon sens, une loi censée qui demande tout simplement aux employeurs de prouver qu'ils ont une bonne raison de refuser un congé de Sabbat avant de remercier (une personne croyante), » a-t-il dit.

Les citoyens Américains peuvent cliquer ici pour demander à leurs Sénateurs et représentants du Parlement de supporter la liberté sur le lieu du travail.