9 juillet 2021 | Silver Spring, Maryland, États-Unis | Ted N.C. Wilson
Salutation, mes amis. Aujourd’hui, pendant notre temps ensemble, je voudrais me concentrer sur la merveilleuse espérance que nous avons en Jésus. Comme beaucoup d’entre vous le savent, il y a quelques semaines, nous avons perdu notre précieux petit-fils, James Wilson Wright. James, qui est décédé juste avant son huitième anniversaire, était le plus jeune enfant de notre fille Elizabeth, et de notre gendre David Wright.
Je tiens à remercier chacun d’entre vous qui a pris le temps d’exprimer ses pensées, ses condoléances et ses prières pour notre famille alors que nous « marchons dans la vallée de l’ombre de la mort ». Vos prières continuent de nous soutenir en ce moment, et au nom de toute la famille, je vous remercie.
Durant sa jeune vie, le petit James a souffert d’une maladie débilitante et terminale connue sous le nom de « maladie d’Alexander ». Malgré cela, il a été un enfant doux, gentil, aimant et attentionné envers tout le monde, y compris les médecins et les infirmières qui s’occupaient de lui. Il était vraiment un rayon de soleil pour Jésus.
Et aussi difficile que cela ait été de lui dire au revoir, Dieu soit loué, nous ne sommes pas dans la peine comme ceux qui n’ont pas d’espoir. Dans 1 Thessaloniciens 4.13-18, nous lisons ce merveilleux passage, qui dit ce qui suit :
« Nous ne voulons pas, frères, que vous soyez dans l’ignorance au sujet de ceux qui dorment, afin que vous ne vous affligiez pas comme les autres qui n’ont point d’espérance. Car, si nous croyons que Jésus est mort et qu’il est ressuscité, croyons aussi que Dieu ramènera par Jésus et avec lui ceux qui sont morts. Voici, en effet, ce que nous vous déclarons d’après la parole du Seigneur : nous les vivants, restés pour l’avènement du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui sont mort. Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. Consolez-vous donc les uns les autres par ces paroles ».
Et, en effet, quel réconfort sont ces paroles ! Mes amis, lorsque nous pensons à nos proches qui se sont endormis en Jésus, nous pouvons avoir un tel espoir et une telle paix parce que nous savons qu’un jour prochain nous serons réunis et que nous n’aurons plus jamais à nous dire au revoir, tout cela par la grâce et l’amour de Jésus-Christ ! Quelle promesse merveilleuse et glorieuse !
Mais en attendant, nous pouvons être en paix, sachant que pour le moment, nos proches ne font que dormir. Ils ne souffrent plus, ne sont plus inquiets, ils n’ont plus aucun défi.
La Bible nous assure de cette vérité. Par rapport à ceux qui meurent, le Psaume 146.4 nous dit : « Leur souffle s’en va, ils rentrent dans la terre, et ce même jour leurs dessins périssent ». Et Ecclésiaste 9.5 nous rappelle que « les vivants, en effet, savent qu’ils mourront ; mais les morts ne savent rien ».
Et dans 1 Corinthiens 15.51-55, Paul expose très clairement comment un jour, ceux qui meurent en Christ, ainsi que ceux qui vivent en Lui à son retour, recevront le don de l’immortalité. Nous lisons :
« Voici, je vous dis un mystère : nous ne mourrons pas tous ». Remarquez que les Écritures font référence à la mort comme à un sommeil. Il poursuit en disant : « Nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés, en un instant, en un clin d’œil, à la dernière trompette. La trompette sonnera, et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changés. Car il faut que ce corps corruptible revête l’incorruptibilité, et que ce corps mortel revête l’immortalité. Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l’incorruptibilité, et que ce mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite : La mort a été engloutie dans la victoire. O mort, où est ta victoire ? O mort, où est ton aiguillon ? »
Oui, chers amis, ne perdons jamais espoir. Car nous avons la parole sûre de Dieu qui est remplie de ces promesses si précieuses !
Pour conclure, je voudrais partager quelque chose de très encourageant qu’Ellen White a écrit à sa sœur jumelle, Elizabeth, lorsque la petite fille d’Elizabeth, Eva, est décédée. Elle a écrit :
« Nos plus chères espérances sont souvent frustrées ici-bas. La mort nous arrache nos bien-aimés. Nous leur fermons les yeux […] et les éloignons de notre vue. Mais l’espérance nous ranime. La séparation n’est pas définitive ; nous reverrons les êtres aimés qui dorment en Jésus. Ils reviendront du pays de l’ennemi. Il revient, Celui qui donne la vie, escorté de myriades de saints anges. Il délie les liens de la mort, brise les chaines de la tombe : les captifs sortent en bonne santé et revêtus d’une immortelle beauté.
Au moment même où les petits enfants sortent immortels de leur lit de poussière, ils volent vers les bras de leurs mères. La réunion a lieu pour toujours ».
Comme il est merveilleux de penser que nos proches, jeunes et vieux, qui sont morts en Jésus, recevront un jour, très bientôt, une nouvelle vie immortelle et que nous serons pour toujours avec eux et avec le Seigneur. Que ces paroles nous donnent à tous espoir et courage dans l’attente de ce grand jour de résurrection. Prions ensemble :
Père céleste, merci pour la promesse de la vie immortelle, lorsque Jésus descendra du ciel avec une grande puissance, lorsque la trompette sonnera, et que le cri retentira partout, et que ceux qui reposent en Jésus, ceux qui sont morts en Jésus, seront ressuscités à la vie et que nous les verrons s’enlever au ciel, et que ceux d’entre nous qui sont vivants les suivront dans les airs, pour être à jamais avec le Seigneur ; nous désirons ardemment ce jour. Merci pour cette espérance bénie que nous avons, tout cela grâce à ce que Jésus a fait pour nous, son sang, sa grâce, sa justice qui est le cœur du message des trois anges, merci de nous entendre dans cette prière, et pour l’espérance bénie que nous avons ; nous demandons tout cela au nom précieux et merveilleux de Jésus notre Seigneur et Roi qui reviendra bientôt, amen.