13 janvier 2023 | Silver Spring, Maryland, États-Unis | Ted N.C. Wilson
Salutations, les amis. Au début de notre voyage dans le livre « La tragédie des siècles », au chapitre 1, nous trouvons le Christ au sommet du mont des Oliviers, regardant Jérusalem et son magnifique temple, et toujours Jésus pleurant de manière incontrôlable. Nous entendons ses paroles, nous les lisons dans Luc 19.42-44 alors qu’il s’adresse à la ville condamnée :
« Si seulement tu avais toi aussi reconnu, aujourd’hui, ce qui peut te donner la paix ! Mais maintenant, cela est caché à tes yeux. Des jours viendront pour toi où tes ennemis t’entoureront d’ouvrages fortifiés, t’encercleront et te serreront de tous côtés. Ils te détruiront, toi et tes enfants au milieu de toi, et ils ne laisseront pas en toi pierre sur pierre, parce que tu n’as pas reconnu le moment où tu as été visitée ».
Au moment où cette prophétie a été prononcée, il semblait tout à fait impossible qu’elle se réalise un jour. Les murs de la ville étaient hauts et bien fortifiés. Le temple offrait une vue spectaculaire, scintillant de blanc et d’or.
Pourtant, à peine 40 ans après que la triste prophétie du Christ ait été prononcée, elle s’est accomplie exactement comme prévu. L’autrice inspirée donne cette terrible description :
« Spectacle terrifiant […] ! Toute la crête de la colline qui dominait la ville flamboyait comme un volcan. Avec les fracas du tonnerre, les bâtiments, l’un après l’autre, s’effondraient dans un brasier dévorant. Les toits de cèdre ressemblaient à des nappes de flammes. Les pinacles dorés jetaient des reflets embrasés. Des tours s’élevaient des colonnes de fumée et de flammes dont la lueur éclairait les collines avoisinantes. Dans l’obscurité, des groupes d’assiégés, en proie à une angoisse mortelle, suivaient les progrès de l’incendie. […] Les cris des soldats romains et les hurlements des insurgés périssant dans les flammes se mêlaient au crépitement de l’incendie, et les échos de la montagne répercutaient les lamentations du peuple massé sur les hauteurs. […] Des gens […] rassemblaient ce qu’il leur restait de force pour faire entendre une dernière clameur d’angoisse et de désolation ».
De manière surprenante, cependant, aucun chrétien n’est mort dans cette destruction. Comment ont-ils pu s’échapper ? Voyez-vous, le Christ avait donné un avertissement à ses disciples et tous ceux qui avaient cru à ses paroles avaient attendu le signe promis. Il a dit : « Lorsque vous verrez Jérusalem encerclée par des armées, sachez que sa destruction est proche. Alors, que ceux qui seront en Judée s’enfuient dans les montagnes, que ceux qui seront à l’intérieur de Jérusalem en sortent et que ceux qui seront dans les champs n’entrent pas dans la ville ».
L’histoire nous apprend que les Romains, sous le commandement de Caius Cestius Gallus, ont encerclé la ville, puis, soudainement, ils se sont retirés de manière inattendue. Ellen White écrit : « Dieu, dans sa miséricorde, dirigeait les événements pour le bien de son peuple. Le signe promis avait paru, et l’occasion était donnée aux chrétiens sur le qui-vive et à tous ceux qui le voulaient d’obéir à l’ordre du Seigneur ».
Lorsque les Romains sont revenus sous le commandement de Titus, tous ceux qui avaient entendu l’avertissement du Sauveur avaient déjà fui.
La prophétie nous avertit que ces scènes vont se répéter, mais à une échelle beaucoup plus grande. Nous lisons : « La prophétie du Seigneur touchant Jérusalem doit avoir un autre accomplissement dont ce néfaste événement n’est qu’une pâle image. Dans le triste sort de la cité élue, il faut lire ce qui arrivera à un monde qui a rejeté la miséricorde de Dieu et foulé aux pieds sa loi. […] A contempler les conséquences de la réjection de l’autorité du ciel, le cœur se serre et l’esprit se trouble. Mais une scène plus lugubre encore est cachée dans l’avenir ».
Néanmoins, nous ne devons pas avoir peur ! Tout comme Jésus a averti ses disciples de la destruction de Jérusalem, « il a aussi averti le monde de sa destruction. Il nous a donné des signes de l’approche de ce grand jour, afin que tous ceux qui le veulent puissent échapper à la colère à venir ».
Comme le peuple de Dieu a été délivré de la destruction de Jérusalem, son peuple – ceux qui écoutent et obéissent à sa voix aujourd’hui – sera sauvé de la destruction à venir.
Mes chers amis, voyez-vous les signes de son retour ? Croyez-vous que la fin est proche ? Êtes-vous prêts pour la tempête qui va bientôt frapper le monde, « avec une rage inlassable » ?
Vous pouvez l’être. Vous pouvez être prêt. La Bible nous assure : « Ayez confiance en l’Éternel, votre Dieu, et vous serez affermis. Ayez confiance en ses prophètes et vous réussirez ».
Une fois de plus, je vous encourage à vous procurer une copie de ce merveilleux ouvrage intitulé « La tragédie des siècles », disponible en téléchargement gratuit et en plusieurs langues sur le site greatcontroversyproject.org.
Que le Seigneur vous bénisse et vous guide pendant que vous lisez ce livre dans la prière, « La tragédie des siècles ».
Et maintenant, je vous invite à prier.
Père céleste, bénis les milliers, les millions de personnes qui liront le livre « La tragédie des siècles » ; un livre que tu as inspiré, un livre qui nous permet de comprendre la façon dont tu as conduit ton peuple depuis les débuts du christianisme, jusqu’à l’époque dans laquelle nous vivons maintenant et dans un avenir très proche, juste avant le retour de Jésus. Seigneur, bénis les personnes qui liront ce livre et qui mettront en corrélation les événements avec les prophéties bibliques. Seigneur, aide-nous à comprendre que, quelle que soit la situation à laquelle nous sommes confrontés, par la grâce de Dieu, si nous mettons notre confiance en lui, il nous guidera, il nous donnera un moyen d’échapper selon sa volonté. Seigneur, merci pour les messages prophétiques contenus dans les livres de Daniel et de l’Apocalypse, et merci pour le livre « La tragédie des siècles ». Bénis ceux qui lisent ces mots, et qu’ils soient inspirés à partager avec d’autres la promesse du retour imminent de Jésus. Nous le demandons au nom du Christ, amen.