Le secrétaire exécutif de la DIA, le pasteur Leonard Johnson, partage des « pépites de leadership » pour les dirigeants d’églises à travers le territoire.

10 janvier 2023 | Miami, Floride, États-Unis | Leonard Johnson, secrétaire exécutif, Division Inter Américaine

Dans l’Évangile de Jean, au chapitre 9 et au verset 4, nous trouvons ces mots : Il faut que je fasse, tandis qu’il est jour, les oeuvres de celui qui m’a envoyé; la nuit vient, où personne ne peut travailler. En écoutant ce passage, vous avez certainement entendu ces mots « Il faut que je. » Jésus a dit : « Il faut que je fasse les œuvres de celui qui m’a envoyé. »

C’est une manière de reconnaître un sentiment d’urgence. L’histoire que l’on retrouve dans ce passage est intéressante. Elle se trouve dans le chapitre 9 de l’Évangile de Jean. C’est l’histoire d’un homme né aveugle. Dans ce cas particulier, les disciples sont venus trouver leur maître et lui ont dit : Dis-nous pourquoi cette personne est-elle née aveugle ? Est-ce parce qu’elle a péché ? Ou est-ce à cause des péchés de ses parents ?

Jésus a répondu : voyons ! Ce n’est pas à cause de ses péchés, parce qu’il n’a pas eu l’occasion de pécher avant de naitre aveugle, et ce n’est certainement pas à cause de ses parents, mais c’est pour que les œuvres de Dieu soient manifestées que Dieu a permis cette expérience. Ainsi donc, quand nous considérons le récit, nous trouvons un certain nombre de personnages, non seulement les disciples, mais nous trouvons aussi les voisins de cet homme né aveugle.

Nous arrivons aux Pharisiens. Nous arriverons aussi à ses parents. Et dans chaque cas, il me semble qu’ils n’ont pas compris ce qui se passait. Les disciples mettaient l’accent sur le péché parce que c’était la manière de voir de l’époque. Si vous étiez aveugle ou si vous aviez un défaut quelconque, c’était à cause du péché. Mais Jésus a dit que ce n’était pas le point important ici.

Ce n’est pas sur cette base que s’appuie ce dont je parle. Et lorsque les voisins de cet homme débattaient entre eux en disant, est-ce vraiment notre voisin ? Il y a eu un débat entre eux. Et puis il y a eu un débat entre les pharisiens. Et puis ils ont aussi contacté les parents et les parents ont reconnu que c’était bien leur fils qui avait été guéri. Et maintenant, il pouvait voir.

Mais pour éviter toute dispute avec les Pharisiens, ils ont simplement dit : Allez l’interroger, il a de l’âge. Mais pour Jésus, la question n’était pas là. Il s’agissait de reconnaître que bientôt il ne resterait plus de temps. Il n’aurait pas le temps de faire ce qu’il voulait faire. Et alors qu’il faisait encore jour, Jésus a saisi l’occasion.

Il a profité du moment pour parler de son père, pour manifester l’amour de son père. Comme je vous le dis aujourd’hui, Dieu nous a donné une période de 24 heures à chacun d’entre nous. Comment utilisez-vous le temps que Dieu vous donne ? Utilisez-vous votre temps à bon escient pour encourager quelqu’un afin de faire progresser le Royaume de Dieu ?

Pour partager un sentiment d’espérance ? Je vous exhorte aujourd’hui, réalisez dans quels temps nous vivons. C’est ma prière. Comme Jésus, nous déclarerons : il faut que je fasse les œuvres de Celui qui m’a envoyé pendant qu’il est encore jour car la nuit vient où personne ne peut travailler. Mettons-nous à l’œuvre pour le Seigneur.

 

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