Leonard Johnson quitte son poste de secrétaire exécutif de la DIA pour assumer un nouveau rôle de direction à l’Église mondiale.
Le 7 juillet 2025 | Saint-Louis, Missouri, États-Unis | Libna Stevens, Actualités de la Division interaméricaine
Le 6 juillet dernier, le pasteur Leonard Johnson a été élu à titre de vice-président général de l’Église adventiste du septième jour lors de la 62e session de la Conférence générale à Saint-Louis, dans l’État américain du Missouri.
Son élection est survenue lors du choix des délégués des sept vice-présidents qui participeront à la mise en œuvre des priorités axées sur la mission de l’Église mondiale au cours des cinq prochaines années.
Le pasteur Leonard Johnson (au centre) sur la scène peu après avoir été nommé, le 6 juillet, parmi les sept vice-présidents généraux lors de la 62e session de la Conférence générale à Saint-Louis, dans l’État américain du Missouri. [Une photo de Daniel Gallardo/DIA]
Pasteur consacré, il détient également un doctorat pastoral du « Séminaire théologique réformé ».
Né aux Bahamas, il a entamé son ministère à titre de pasteur d’église locale et a, depuis, assumé une variété de rôles de direction, y compris ceux de directeur de département, de secrétaire exécutif et de président de fédération ainsi que de président d’union.
Il est marié avec Denise Johnson et, ensemble, ils ont deux enfants adultes et quatre petits-enfants.
Le pasteur Leonard Johnson (deuxième à partir de la gauche) sur la scène quelques minutes après que lui et six autres personnes ont été annoncés à titre de vice-présidents généraux de la Conférence générale. [Une photo de Daniel Gallardo/DIA]
Il a mis l’accent sur l’importance de solidifier les relations entre la direction et les membres d’église. « Tout se passe au niveau de l’église locale, a-t-il dit. Et quand nous ne comprenons pas cela, nous ne pouvons accomplir tous les objectifs que nous avons à l’esprit. »
Au centre de sa vision se trouve un engagement renouvelé pour la mission. « La mission est fondamentale, a-t-il dit. Mais elle requiert l’implication des membres. Et quand nous arrivons à reconnaître que ces membres sont tous importants, qu’ils ont tous des dons, notre rôle consiste à les aider à découvrir ce que Dieu leur a déjà confié et à leur offrir des occasions d’utiliser leurs dons. »
Traduction : Marie-Michèle Robitaille