Un groupe de la Comunidad Oriente (Communauté de l’Est) assis pour une photo de groupe dans leur hacienda louée récemment à Medellin, en Colombie, un sabbat après-midi. Le groupe qui a à sa tête le pasteur Kevin Mendoza dirige un groupe noyau d’adventistes du septième jour et de chefs d’entreprises de la région qui se réunissent chaque semaine dans le cadre du projet de la Division Inter Américaine visant à établir 10 congrégations dont l’objectif est d’apporter le message de l’évangile aux individus séculiers. [Photo : avec l’aimable autorisation de Kevin Mendoza]

26 Octobre 2023 | Miami, Floride, États-Unis | Libna Stevens, Actualités de la Division Inter Américaine

Les nouvelles congrégations adventistes du septième jour deviennent de plus en plus visibles sur tout le territoire de la Division Inter Américaine (DIA). Les membres se réunissent dans des espaces différents des lieux de culte. Le format du service du culte n’est pas celui auquel on est habitué avec une école du sabbat et un programme de culte le matin. Il n’y a pas d’emblèmes d’église ni même le logo de l’Église adventiste du septième jour. Il y a de la musique, des messages centrés sur la Bible et des activités et des programmes spécifiques le jour du sabbat et pendant la semaine.

Les groupes ou petites congrégations sont gérés par l’Église adventiste dans la fédération, la mission ou l’union spécifique dans laquelle ils servent à travers le territoire. Appelées Églises Amicales, les congrégations implantées suivent un plan lancé en 2021, lorsque les dirigeants de la division ont décidé d’atteindre les non-croyants dans des endroits spécifiques dans les zones urbaines.

Pasteur Hiram Ruiz, directeur des ministères auprès des campus publics de la Division Inter Amérique qui dirige les « Églises Amicales, » s’adresse au groupe de pasteurs nommés par leurs fédérations et unions pour être à la tête de ces congrégations uniques dans les grandes villes du territoire. [Photo : Libna Stevens/DIA]

Atteindre le public séculier

« Nous les appelons « Églises Amicales » parce que ce sont des congrégations amicales pour des personnes qui sont dans un courant séculier, » a déclaré pasteur Hiram Ruiz, directeur des ministères auprès des campus publics de la DIA qui supervise les étudiants d’université et les jeunes professionnels. « Cela ne veut pas dire que nos églises adventistes du septième jour ne sont pas amicales, mais c’est une référence que nous utilisons en interne pour décrire un nouvel espace ou un nouveau lieu permettant de partager le message d’espérance à un public spécifique que l’Église n’a pas sérieusement cherché à atteindre. »

Les Églises Amicales recherchent des étudiants d’université, des chefs d’entreprise, des professionnels et des personnes qui ne sont pas intéressées à venir dans un lieu de culte ou à participer à un service religieux formel. Ils ne sont pas intéressés par la religion organisée, a déclaré pasteur Ruiz. C’est arrivé après la pandémie, a ajouté pasteur Ruiz, soulignant la nécessité d’atteindre les croyants et les non-croyants qui ne s’intéressent à aucune sorte d’église religieuse. « Nous avons vu la nécessité de proposer un lieu confortable où ils pourraient parler et écouter des choses spirituelles, sans que la musique ne soit l’élément central, sans code vestimentaire spécifique, mais avec l’opportunité pour eux de comprendre Dieu dans leur vie. »

Devant de gauche à droite : les pasteurs instructeurs Gerson Santos, directeur adjoint de l’association pastorale de la Conférence Générale, Bledi Leno, directeur du Centre Urbain de Mission Mondiale ; Hiram Ruiz de la Division Inter Américaine ; Kleber Gonçalves, directeur du Centre de Mission Globale pour les Études Séculières et Postmodernes à la Conférence Générale ; et Johnathan Contero (jusqu’à récemment, pasteur de l’église Cero à Madrid en Espagne), sont entourés de pasteurs nommés pour être à la tête d’une Église Amicale dans une grande ville du territoire. [Photo : Libna Stevens/DIA]

Il existe dix congrégations de ce type au Mexique, au Panama, en Colombie et au Salvador. La plupart fonctionnent depuis le début de cette année.

Cela a commencé comme un programme pilote

« Le projet a débuté comme un programme pilote avec des unions, des régions ecclésiales majeures, qui souhaitaient créer un espace plus sensible et plus confortable pour répondre aux intérêts spécifiques du public cible, avec des services de culte moins structurés et avec des activités et des projets communautaires réguliers, » a dit Hiram Ruiz.

Quinze groupes ont débuté dans dix unions de la DIA avec un pasteur désigné choisi par la fédération correspondante, qui, pendant une année, a été formé dans une série de sessions en personne et en ligne et a enrôlé un groupe noyau d’environ 20 membres d’église intéressés par le projet. Plus tard, le groupe de pasteurs retenus pour diriger une Église Amicale s’est réuni pour poursuivre une formation spécifique, discuter des progrès et des défis de leur nouveau ministère, et se concentrer précisément sur la tâche consistant à présenter aux individus à l’esprit séculier le message de l’évangile.

Pasteur Kleber Gonçalves, directeur du Centre de Mission Globale pour les Études Séculières et Postmodernes à la Conférence Générale, intervient lors d’une session de formation des dirigeants des Églises Amicales plus tôt cette année. [Photo : Libna Stevens/DIA]

Les sessions de formation en quatre modules ont été dirigées par les responsables du Centre de Mission Globale de la Conférence Générale pour la Mission Séculière et Post-Chrétienne en partenariat avec la DIA, depuis novembre 2021.

Une approche différente

La DIA a été la première région de l’Église adventiste mondiale à participer au nouveau programme structuré, a déclaré pasteur Kleber Gonçalves, directeur du Centre de Mission Globale pour les Études Séculières et Postmodernes à la Conférence Générale.

« Cela a été une approche totalement différente de celle pour laquelle les pasteurs ont été formés normalement dans notre église, » a déclaré pasteur Gonçalves. « Le processus consistant à conduire les autres à Christ pourrait prendre plus de temps que ce à quoi les dirigeants ou les membres de l’église s’attendent dans le contexte d’une église adventiste traditionnelle, mais jusqu’à présent, il s’est avéré efficace et nous avons vu comment Dieu a développé le ministère consistant à rechercher des personnes à l’esprit séculier qui « cherchent des réponses et sont intéressés par l’idée de faire une différence dans le monde à travers l’Inter Amérique, » a-t-il déclaré.

Pasteur Misael Pedraza s’adresse à un groupe noyau de la congrégation Hope Life (Espoir et Vie) dans la partie nord-est de Monterrey, dans le Nuevo Leon, au Mexique. [Photo : Facebook]

Dans l’Union du Nord du Mexique, trois Églises Amicales ont pris leur essor et se sont développées. L’une de ces congrégations bien établies est Espoir et Vie, une congrégation située dans la partie nord-est de Monterrey, dans le Nuevo Leon. Le pasteur Misael Pedraza et son groupe noyau mènent différents programmes d’action missionnaire dans la communauté tels que des expositions d’art, des activités d’impact sur la santé et bien plus encore depuis le début de cette année dans l’espace polyvalent qu’ils louent.

Pasteur Pedraza, comme d’autres pasteurs du Projet Églises Amicales, se concentre sur le ministère auprès de ceux qui fréquentent Espoir et Vie et de son noyau de membres d’église. Ils ont adopté la vision spécifique à long terme du projet et comprennent comment pensent et agissent les personnes qui viennent d’un contexte séculier dans la région.

Espoir et Vie annonce sur Facebook qu’ils vivent une vie d’espérance, étudient la Bible, écoutent de la musique et des messages dans l’espace qu’ils louent dans le bâtiment Akadem à Monterrey, au Mexique. [Photo : Facebook de Espoir et Vie]

Travailler dans les groupes noyaux

Le groupe noyau se réunit chaque sabbat matin pour étudier la leçon de l’école du sabbat, prier, adorer et considérer la vision et l’objectif de l’église amicale dans la mission. Ensuite, le groupe noyau accueille les participants pour le service du sabbat après-midi qui comprend des moments de louange, un message spirituel et un moment de collation ensemble. « Il est important d’être inclusif – une congrégation qui a une nouvelle approche pour amener les individus à servir la communauté à travers un ministère ou un projet, » a déclaré pasteur Pedraza. La clé a été de proposer aux visiteurs de faire partie de différents groupes d’intérêt et différents ministères. Plusieurs ont été baptisés et le groupe s’est développé pour compter maintenant plus de 100 personnes.

Non loin de Espoir et Vie se trouve CREA, une Église Amicale située dans la partie nord-ouest de Monterrey. Pasteur Alejandro Díaz dirige CREA. Il a vu les avantages qu’il y a à accueillir tous ceux qui franchissent les portes l’après-midi du sabbat pour le culte. « Nous mettons l’emphase sur le fait d’établir des contacts et de nous faire des amis, peu importe leur apparence ou ce qu’ils font, sans jugement, » a déclaré pasteur Díaz. « Nous leur donnons la possibilité de participer à n’importe quel ministère dont ils souhaitent faire partie, comme par exemple le groupe d’experts en image, des coureurs de marathon, des techniciens ou des ingénieurs, des femmes qui sensibilisent aux problèmes de violence, et bien plus encore. »

Le pasteur Alejando Díaz, qui dirige le groupe CREA, prend un selfie avec deux jeunes qui participent aux services et aux activités du groupe. L’un des objectifs du groupe noyau est que tous ceux qui le rejoignent se sentent toujours à l’aise et bienvenus. [Photo : avec l’aimable autorisation d’Alejandro Díaz]

Ce qui est essentiel, c’est de maintenir vivante et claire la mission consistant à atteindre les esprits séculiers, a-t-il ajouté. Le format a suscité la confiance chez les groupes de personnes d’âge moyen et les jeunes, dont certains avaient quitté l’église. « Nous avons travaillé dur pour créer un environnement très ouvert, convivial, chaleureux et confortable pour tous ceux qui souhaitent faire partie de CREA, » a déclaré pasteur Díaz.

Alejandro Díaz a été pasteur de district pendant plus de 20 ans et a déclaré que diriger le nouveau format a ouvert de nombreuses opportunités pour mieux comprendre les besoins et les préoccupations de chaque esprit séculier qui se rapproche de CREA. « Le message de l’évangile ne change pas, mais les méthodes que nous utilisons pour établir le contact avec cette génération semblent attirer beaucoup plus de jeunes, de professionnels et de chefs d’entreprise qui recherchent quelque chose de plus grand que ce qu’ils ont, » a-t-il déclaré. Plus de 60 personnes se réunissent au CREA chaque semaine.

Un programme continu de formation de disciples

Chacune des Églises Amicales établies se trouve dans une grande ville comptant au moins un million d’habitants. Fondamentalement, les églises ont été conçues pour être un autre type d’église adventiste, avec une approche continue de formation de disciples, a déclaré pasteur Ruiz. « C’est merveilleux de voir l’impact spirituel que ces congrégations ont dans la vie de si nombreuses personnes qui vivent dans les grandes villes, » a-t-il ajouté.

La congrégation Conexion 7 dans la ville de Panama, au Panama, s’est récemment réunie pour une formation spéciale et des activités sociales dans un parc. Le groupe s’est développé et compte maintenant plus de 150 personnes qui se réunissent chaque sabbat. [Photo : avec l’aimable autorisation de Demetrio Aguilar]

Depuis le début de l’année 2023, pasteur Ruiz fait sa tournée dans chacune des Églises Amicales de l’Inter Amérique.

« Beaucoup parmi nos jeunes générations et les individus qui sont dans une démarche séculière ne peuvent pas comprendre le format utilisé dans nos églises adventistes chaque sabbat. Ils ont parfois du mal à se sentir à l’aise dans le contexte d’une liturgie ecclésiale qui ne leur est pas familière, » a-t-il déclaré. C’est une approche différente, mais après des mois, ils ont pu constater des résultats positifs. « Plusieurs ont décidé de rejoindre les groupes par le baptême et de continuer à participer activement aux initiatives et aux projets missionnaires, » a déclaré pasteur Ruiz.

Au Panama, Conexión 7 a ouvert ses portes l’année dernière avec un groupe de professionnels résidant dans les communautés aisées de la ville de Panama. Dès le début, pasteur Demetrio Aguilar a clairement indiqué quel était leur objectif. « Il s’agissait avant tout d’établir une amitié, un lien avec les chefs d’entreprise et les professionnels, » a indiqué pasteur Aguilar. « Nous cherchons à leur offrir un message spirituel encourageant, pour les amener à s’impliquer et à se développer. »

Pasteur Demetrio Aguilar, qui dirige Conexion 7 dans la ville de Panama, au Panama, rencontre un groupe de chefs d’entreprises afin de présenter un message biblique. [Photo : avec l’aimable autorisation de Demetrio Aguilar]

Plus de 150 personnes se réunissent chaque semaine, et plusieurs ont dit leur intérêt et leur appel à la mission, a déclaré pasteur Aguilar, qui rend régulièrement visite aux personnes et aux familles qui ont rejoint le groupe cette année. Le groupe a vu le premier chef d’entreprise se faire baptiser. À son tour, il a amené des collègues, des amis et des membres de sa famille dans le groupe qui est en pleine croissance. Le groupe a également pris part à des initiatives dans le domaine de la santé pour la communauté, à des marches et à des courses à travers la ville et à d’autres activités. Jusqu’ici, cinq personnes ont été baptisées.

L’initiative a convaincu pasteur José De Gracia, président de l’Union du Panama, de l’efficacité du format de l’Église Amicale. « Cela a été une véritable bénédiction, » a déclaré pasteur De Gracia.

Un groupe de la congrégation Avant & Après à San Salvador, au Salvador, tient des collations emballées qui seront distribués lors d’une activité d’impact dans la communauté. [Photo : avec l’aimable autorisation de Johnatan Peñate]

Des années auparavant, l’Union du Panama avait supervisé une église composée de professionnels adventistes dans la ville de Panama, mais elle n’a pas survécu, a-t-il déclaré. « Je crois que l’objectif et la mission n’avaient peut-être pas été bien compris ni suivis, » a déclaré pasteur De Gracia. L’union souhaite établir une église amicale dans chacune des six fédérations et missions du Panama dans les années à venir. « La possibilité d’atteindre de nombreuses personnes pour le Seigneur dans l’environnement séculier très peuplé de nos villes est grand, et nous devons saisir cette opportunité pour atteindre davantage de personnes, » a dit pasteur De Gracia.

Kevin Mendoza a travaillé pendant des mois pour atteindre un groupe de propriétaires fonciers dans la banlieue est de Medellin, en Colombie. Le groupe, appelé Comunidad Oriente (Communauté de l’Est), rassemble chaque sabbat plus de 50 chefs d’entreprise sur un site loué non loin de la ville. Lors des rencontres sociales et des activités, ils prennent le temps de planifier. Le groupe continue d’amener des amis et des connaissances qui sont invités à participer à leurs réunions hebdomadaires.

Un groupe de « Tercer Lugar » dirigé par le pasteur Jonatan García, l’une des deux congrégations « Églises Amicales » de Bogota, distribue des collations à un groupe de sans-abri lors d’une récente activité d’impact communautaire. [Photo : avec l’aimable autorisation de Jonathan Garcia]

Ce n’est pas une question de chiffres

Le succès du projet Église Amicale ne se mesure pas au nombre de baptêmes, de visiteurs et de visiteurs réguliers, a dit pasteur Ruiz. « Les contacts établis, la croissance spirituelle du groupe se font à travers un programme de formation de disciples contextualisé, et non à travers le format d’évangélisation adventiste traditionnel, » a-t-il déclaré. Pourtant, les groupes des Églises Amicales comprennent les principes de la gestion chrétienne, donnent leurs dîmes et leurs offrandes et contribuent à l’organisation de l’Église adventiste à laquelle ils appartiennent, a expliqué pasteur Ruiz.

Les pasteurs qui dirigent les dix Églises Amicales continuent de participer à un programme de mentorat en groupes et en individuel une fois par mois. « Ce programme spécial requière une attention particulière pour gérer les éventuelles difficultés et continuer à consolider ces congrégations uniques, » a ajouté pasteur Ruiz.

Une partie du groupe « Caminos » de l’Église Amicale de Guadalajara, dans le nord du Mexique, pose pour une photo après avoir joué au football dans le cadre d’activités sociales dont l’objectif est d’apprendre à mieux se connaître et d’inviter de nouveaux amis. [Photo : avec l’aimable autorisation de Carlos Piñon]

Le projet a été une expérience au cours de laquelle on a vraiment appris, et il a connu une croissance si constante ces derniers temps que le Centre de Mission Globale pour les Études Séculières et Postmodernes de la Conférence Générale, en collaboration avec la DIA, travaille à la rédaction d’un manuel. Le volume couvrira le processus indiquant la marche à suivre, les recommandations et les résultats obtenus avec la création d’Églises Amicales dans tout le territoire.

« Le manuel sera une ressource importante à suivre dans le reste du territoire de la DIA, » a déclaré pasteur Ruiz. Il devrait être disponible avant la fin de 2024.

Un groupe de la congrégation Avant & Après à San Salvador, au Salvador, tient des collations emballées qu’il distribuera lors d’une activité d’impact dans la communauté. [Photo : avec l’aimable autorisation de Johnatan Peñate]

Pasteur Ruiz a également indiqué qu’il y a des personnes qui s’intéressent au redémarrage de certaines Églises Amicales dans plusieurs unions qui, pour une raison quelconque, n’ont pas réussi à établir les groupes noyaux avec succès. La prochaine session de formation aura lieu au Panama. L’Union du Panama organisera une formation pour des pasteurs qui auront été choisis et qui commenceront le processus de création d’un groupe noyau dans les six fédérations et missions de la région. « Ce sera une opportunité pour les unions qui souhaitent se lancer dans la mise en place d’un format d’Église Amicale, » a déclaré pasteur Ruiz.

Les modules de formation au cours des deux dernières années ont inclus des sessions avec les pasteurs Kleber Gonçalves ; Johnathan Contero (jusqu’à récemment, pasteur de l’Église Cero à Madrid en Espagne) ; Bledi Leno, directeur du Centre Urbain de Mission Globale ; et Gerson Santos, directeur adjoint de l’association pastorale de la Conférence Générale.

Johnathan Contero, qui était jusqu’à récemment pasteur de l’Église Cero à Madrid, en Espagne, dirige un séminaire sur la formation de disciples destiné au groupe de pasteurs des Églises Amicales de la Division Inter américaine. Le quatrième module de formation a eu lieu plus tôt cette année à Cancun, au Mexique. [Photo : Libna Stevens/DIA]

Les Églises Amicales établies en Inter Amérique comprennent actuellement deux qui se trouvent à Monterrey et une à Guadalajara, dans l’Union du Nord du Mexique ; une à Puebla, dans l’Union Mexicaine Inter Océanique ; une à Tabasco, dans l’Union du Sud-Est du Mexique ; deux à Bogota, dans l’Union du Sud de la Colombie ; une à Medellin, dans l’Union du Nord de la Colombie ; une à San Salvador, dans l’Union du Salvador ; et une dans la ville de Panama, dans l’Union du Panama.

Traduction: Patrick Luciathe

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