Le 12 octobre 2020 | Loma Linda, Californie, États-Unis | Ansel Oliver du département de nouvelles du Centre de santé de l’Université de Loma Linda 

Le Centre de santé de l’Université de Loma Linda (LLUH pour Loma Linda University Health) participe à un effort collectif pour améliorer et accélérer la compréhension de la COVID-19 et la façon dont certains traitements pourraient être développés pour aider les populations les plus affectées.

C’est donc ainsi que des médecins de l’unité de soins intensifs du LLUH collaborent à l’étude menée par l’Université Harvard. Le LLUH est d’ailleurs l’un des 68 hôpitaux qui contribuent à cette étude en cours déjà publiée dans deux revues médicales.

Le LLUH a réussi à fournir les données de 57 patients traités dans son unité de soins intensifs. Ils sont parmi les quelque 5 000 patients inscrits au registre national entre le 4 mars et le 30 juin.

Les résultats ont jusqu’ici été publiés dans les revues JAMA Internal Medicine et British Medical Journal. Et selon Bryant Nguyen, professeur de médecine, chef de la Division de médecine pulmonaire et de soins aigus et chercheur principal de l’Université de Loma Linda pour l’étude, deux autres articles ont été acceptés à des fins de publication.

« Nous sommes heureux d’avoir l’occasion de participer à cette étude, que nos données puissent contribuer à l’amélioration des connaissances sur les meilleurs traitements et soins à offrir aux patients qui ont contracté la COVID-19, a-t-il dit. En travaillant ensemble, nous joignons nos forces contre cet ennemi redoutable. »

Dirigés par David Leaf, chercheur principal de l’Université Harvard, les chercheurs ont examiné les prédicateurs de survie chez les patients gravement atteints par la COVID-19 qui ont été admis dans une unité de soins intensifs dans divers hôpitaux du pays. Les facteurs comprennent l’âge du patient, son index de masse corporel, son sexe, ses fonctions hépatique et rénale ainsi que les ressources hospitalières dont il a disposé. Les chercheurs ont aussi examiné l’efficacité des différents traitements offerts en soins intensifs, comme le tocilizumab lorsqu’il est administré dans les deux premiers jours d’admission.

L’étude est toujours en cours, a souligné le Dr Nguyen, et le personnel et les chercheurs de l’unité de soins intensifs du LLUH continuent d’y participer. Enfin, au moins une douzaine d’articles seront soumis pour publication dans des revues scientifiques.

La version originale de cet article a été publiée sur le site de nouvelles du Centre de santé de l’Université de Loma Linda.

Traduction : Marie-Michèle Robitaille

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