22 Avril2011, Mexico, Mexique…Benjamin Garcia/DIA
Cette semaine, le « UM Tu Club »(Votre Club de l’Université de Montemorelos), l’un des clubs virtuels les plusgrands de l’église, a organisé un showde skateboard. Le club qui est coordonné par l’Université de Montemorelos,cherche à intégrer les éclaireurs skateurs avec d’autres skateurs à travers lemonde.
Le programme a eu lieu dans l’aire réservée auskateboard à la Ciudad Deportiva. Il y avait environ 130 personnes présentespour deux rounds. Un groupe de 20 campeurs venant de divers clubs ont faitmontre de leur savoir faire et ont vécu avec cinq jeunes non Adventistes venantde la ville et ayant plus d’expérience dans ce sport.
Juan Jorge Acuña, directeur du recrutement etdu marketing à l’Université de Montemorelos est responsable de UM Tu Club. Ildit que le type d’activités réalisées par le club virtuel présente l’Universitéde Montemorelos comme une institution qui aime les jeunes.
« En dehors de les préparer pour la vieavec une filière professionnelle, l’université leur offre une coexistenceChrétienne avec de multiples avantages, comme celui de se faire des amis pourla vie, » a-t-il dit.
Parmi les jeunes participants, il y avait unadulte, Ricardo Torres Gutierrez, un membre de l’église Adventiste de Padiernaà Mexico.
Bien qu’il soit âgé de 50 ans, Torres dit quel’âge n’est pas un frein à la participation dans ce sport qu’il a appris enétant jeune. Maintenant il s’y remet.
Pour Torres, c’est un bon sport, amusant etpas très cher. Il s’entraine tous les dimanches.
« Cela me comble, et satisfait mesémotions…et je vous invite où que vous soyez à élever le nom des Adventistes etplus encore celui de Christ notre Sauveur, » a dit Torres, qui a demandé àson patron la permission de prendre quelques jours pour participer au camporée.Il a entendu parler du programme grâce à ses filles qui sont membres de leurclub d’éclaireurs local.
Le show a également servi à témoigner auprèsdes jeunes gens non Adventistes qui ont été invités à visiter l’égliseAdventiste et à qui on a promis qu’on prierait pour eux.
Traducteur: Patrick Luciathe
